Amis sportifs, amateurs de compétition automobile, bonjour. Peut-être souffrez-vous de la même pathologie que nombre de vos semblables : Lorsque le vrombissement d’un moteur de bolide s’élève de votre petit écran, aussitôt vos yeux s’ouvrent bien grand ; mais pourtant, une fois installé devant l’épreuve, vos paupières se font terriblement lourdes. Autrement dit : si vous avez la sensation que les 24 heures du Mans durent des semaines, ou que vous vous endormez en dénombrant un à un les 500 miles d’Indianapolis, ou encore que vous baillez à vous en décrocher la mâchoire devant les multiples tours semblables aux précédents (et aux suivants) du Grand Prix de Monaco, alors vous êtes au bon endroit. Notre ami Mutt2828, vainqueur du précédent concours, a en effet pensé à vous. Afin de vous tenir éveillé pendant toute une course, tous vos sens en alerte maximale, il vous propose un challenge court, mais ô combien intense, via le jeu de son choix : le tonitruant Stunt Car Racer !
Le jeu du mois : Stunt Car Racer
Stunt Car Racer (sorti sous le nom de Stunt Track Racer aux Etats-unis) est un jeu de course de voitures distribué en 1989 par Microstyle. D’abord édité pour Amiga, Atari St et Commodore 64, il est transposé l’année suivante sur Amstrad CPC, Zx Spectrum et Pc. Il a marqué les esprits en raison de deux particularités qui lui sont propres.
D’abord son mode de représentation à la première personne en 3D surfaces pleines : ce type d’affichage était d’ordinaire plutôt réservé aux simulateurs en tous genres (de chars, d’avions ou de navires), tandis que les jeux de voitures étaient majoritairement représentés en sprites 2D et en vue extérieure au véhicule (Turbo Cup, Crazy Cars, Buggy Boy etc…).
Ensuite pour le tracé hautement acrobatique de ses circuits : au lieu de se dérouler au sol, les courses ont lieu sur des rampes surélevées, dépourvues de rambardes de sécurité, et régulièrement entrecoupées de virages inclinés, de bosses et de vertigineux tremplins.
Le programmeur principal Geoff Crammond, déjà connu pour l’inclassable Sentinel, avait déjà réalisé Revs, un autre jeu de course sur BBC et C64. Il continuera sur sa lancée et réalisera en 1992 un titre qui deviendra une référence : Formula One Grand Prix, premier d’une série qui quittera ensuite nos Amigas pour s’ancrer sur les PC (Grand Prix 2, 3 et 4).
Le principe du jeu est ici de participer à un championnat comportant 4 divisions. Démarrant dans la dernière, le joueur doit affronter en face-à-face deux autres concurrents sur chacun des deux circuits de la division. Il y a donc 4 courses à faire par division, soit 16 au total, sur 8 circuits différents. Le but est évidemment de terminer premier de la première division. En cas de victoire, un second challenge est proposé, avec une puissance accrue des véhicules.
Les commandes sont simplissimes : [Up] pour accélérer, [Down] pour freiner, et [Fire] pour allumer le Turbo. Mais le maniement ne l’est pas du tout : la physique du jeu, très réaliste, tient compte de la poussée d’accélération, de l’inertie qui en résulte, et de la force gravitationnelle. Le gameplay consiste alors à gérer ses trajectoires au mieux, tout en gardant une cadence suffisamment rapide pour devancer son concurrent. Mais il faut savoir rester prudent. Une chute du haut de la piste engendre, non seulement une perte de temps, mais aussi des dégâts qui, accumulés, peuvent changer son bolide en épave, obligeant à l’abandon.
Règlement du concours
Le challenge s’effectue sur le premier circuit du jeu : « The Little Ramp ». Le lancement de la partie doit impérativement se faire de la façon suivante :
Choisir le mode « Single Player League », entrer son pseudonyme, puis choisir « Start Racing Season » – La première course est toujours « The Little Ramp » – Le résultat s’affiche à l’issue la course. Par la suite, pour quitter le championnat et retenter sa chance, il suffit de presser F1 et [Fire] en même temps avant la course suivante.
Tout le monde peut participer en publiant une photo (ou une vidéo!) de son meilleur chrono accolé à son pseudo en réponse à cet article. Le gagnant est celui qui fera le meilleur temps sur la course entière (c’est-à-dire à l’issue des 3 tours de piste).
Lors de la dernière semaine du concours il sera expressément demandé aux potentiels vainqueurs leur choix de jeu pour le challenge du mois suivant.
Le gagnant de ce concours remportera ainsi un code promo exclusif de 5% valable sur le store Amiga et retrocomputing Micromiga.com.
Vous êtes prêts ?
Fini de roupiller devant les courses à la télé, vautré sur le canapé du salon, à cuver des binouzes, comme le premier amateur du Tour de France venu. Il est grand temps de prendre les choses en main, de prendre le volant entre les mains, peut-être même de vous prendre pour Lewis Hamilton, mais surtout … d’éviter de vous prendre des gamelles. Bonne course !
Génial! Bravo à tous! Et pour l’heure, particulièrement @yannick ! presque à la porte des 2:17 ! Chapeau!
Alors, par quel bout j’vais y prendre pour commencer …
@jean3-5: pour tes vidéos et les conseils demandés, je pense que tu n’en as plus vraiment besoin, puisque selon moi tu viens de découvrir la clé!
pour rappel : à fond pour le deuxième saut pour atterrir le plus loin possible !
C’est je pense le plus important sur ce circuit, réussir cette dernière portion, à pleine vitesse pour atterrir comme cité: le plus loin possible! Et le plus difficile, car ici pour bien y arriver il faut prendre énormément de risque à la sortie du virage avant le micro-saut et la dernière côte, c’est de réussir la manoeuvre 3 tours d’affilé!
Alors je voudrais (peut-être vais-je le regretter d’ici la fin …) revenir sur un point.
Déjà, pour commencer, ce que je vais dire n’est pas prendre comme une vérité absolue, puisque je n’ai pas le meilleur temps.
Mais bon, je vais y aller de ma science quand même…
Pour moi il y a 2 façons de faire:
Soit on répartit les turbos sur les trois tours:
soit (avec une certaine répartition tout de même…) on se concentre à faire un temps au tour CANON! :
Bon, pas les meilleurs temps de cette compet’ certes, mais des temps corrects ( ) néanmoins.
Moi, pour l’instant, je ne suis sur de rien… mais j’ai ma préférence. L’essentiel c’est de réussir parfaitement la dernière section!
Maintenant, évidemment je me rend compte qu’il y d’autres façons de faire, puisque: @yannick tu as l’air de freiner en haut des tremplins!? Là j’avoue que ça m’épate! Et ça à l’air de payer!
En tout cas j’ai retrouvé sur des vieux carnets de compet’ d’il y a longtemps, des temps intéressants et je peut confirmer qu’il est possible de faire 2:17!
Maintenant au train où vont les choses… qui sais jusqu’où on va aller?
En attendant, pour remonter (provisoirement je n’en doute pas ) dans les superbes petits tableaux d’Outlaw !
Bon, je sais… même temps que @jean3-5. Mais ça me permet au moins de remonter sur le podium pour l’instant.
Et pour info, celui-ci à été réalisé en répartissant bien les turbos. Je sais qu’on aurait pu le déduire vu qu’on ne voit pas de temps au tour … mais au bout d’un moment, surtout quand on alterne les méthodes, il devient très dur d’afficher un meilleur temps au tour dans une même session.
oui, on devrait pouvoir encore descendre plus bas.
Jusque la, je jouais avec un pad de type Megadrive. J’ai le pouce le pouce cassé au bout d’une heure. Faut que j’essaie une manette ou le clavier pour voir.
J’ai améliorer mon meilleur tour (44.07) mais j’arrive pas à enchaîner 3 bons tours. Je pense que je me prend trop la tête à essayer de reprendre vos techniques, j’arrive pas en enquiller le virage avant le petit saut et la montée à fond comme vous.
Rien à faire, aujourd’hui ça passe pas. J’ai améliorer mon meilleur tour (44.07) mais j’arrive pas à enchaîner 3 bons tours. Je pense que je me prend trop la tête à essayer de reprendre vos techniques, j’arrive pas en enquiller le virage avant le petit saut et la montée à fond comme vous. si on combinait…
Eh … des fois ça veut pas… et puis c’est sur, quand on a une technique qu’on tient bien, c’est délicat d’essayer autre chose, ou de combiner.
Mais ça va, tu as le temps. Et puis avec le dernier temps d’Outlaw, je crois qu’on a notre quota de nouveau temps quotidien!
Amis sportifs, amateurs de compétition automobile, bonjour. Peut-être souffrez-vous de la même pathologie que nombre de vos semblables : Lorsque le vrombissement d’un moteur de bolide s’élève de votre petit écran, aussitôt vos yeux s’ouvrent bien grand ; mais pourtant, une fois installé devant l’épreuve, vos paupières se font terriblement lourdes. Autrement dit : si vous avez la sensation que les 24 heures du Mans durent des semaines, ou que vous vous endormez en dénombrant un à un les 500 miles d’Indianapolis, ou encore que vous baillez à vous en décrocher la mâchoire devant les multiples tours semblables aux précédents (et aux suivants) du Grand Prix de Monaco, alors vous êtes au bon endroit. Notre ami Mutt2828, vainqueur du précédent concours, a en effet pensé à vous. Afin de vous tenir éveillé pendant toute une course, tous vos sens en alerte maximale, il vous propose un challenge court, mais ô combien intense, via le jeu de son choix : le tonitruant Stunt Car Racer !
D’abord son mode de représentation à la première personne en 3D surfaces pleines : ce type d’affichage était d’ordinaire plutôt réservé aux simulateurs en tous genres (de chars, d’avions ou de navires), tandis que les jeux de voitures étaient majoritairement représentés en sprites 2D et en vue extérieure au véhicule (Turbo Cup, Crazy Cars, Buggy Boy etc…).
Le programmeur principal Geoff Crammond, déjà connu pour l’inclassable Sentinel, avait déjà réalisé Revs, un autre jeu de course sur BBC et C64. Il continuera sur sa lancée et réalisera en 1992 un titre qui deviendra une référence : Formula One Grand Prix, premier d’une série qui quittera ensuite nos Amigas pour s’ancrer sur les PC (Grand Prix 2, 3 et 4).
Les commandes sont simplissimes : [Up] pour accélérer, [Down] pour freiner, et [Fire] pour allumer le Turbo. Mais le maniement ne l’est pas du tout : la physique du jeu, très réaliste, tient compte de la poussée d’accélération, de l’inertie qui en résulte, et de la force gravitationnelle. Le gameplay consiste alors à gérer ses trajectoires au mieux, tout en gardant une cadence suffisamment rapide pour devancer son concurrent. Mais il faut savoir rester prudent. Une chute du haut de la piste engendre, non seulement une perte de temps, mais aussi des dégâts qui, accumulés, peuvent changer son bolide en épave, obligeant à l’abandon.
Concours du mois (septembre 2020) – Stunt Car Racer – MicroStyle
Extrait de l’article :
Amis sportifs, amateurs de compétition automobile, bonsoir. Peut-être souffrez-vous de la même pathologie que nombre de vos semblables.
L’article complet est disponible ici : https://www.amigafrance.com/concours-du-mois-septembre-2020-stunt-car-racer-microstyle/